La rétroaction est perçue comme un élément clé pour améliorer la performance et la mobilisation des individus au travail. De plus en plus d’organisations revoient leur processus pour mettre l’accent sur les conversations de qualité en continu, plutôt que sur une cote ou une rencontre annuelle ou biannuelle. Cette réingénierie des processus de gestion de la performance met la rétroaction au cœur de la réussite. Pourtant, peu d’organisations ont vraiment réussi à bien outiller les gestionnaires et les employés et à changer l’approche traditionnelle où la rétroaction est recueillie et donnée par le gestionnaire à son employé.
Que nous dit la science sur la rétroaction? Est-ce que la rétroaction constructive a réellement un impact sur la performance? Qu’en est-il de la rétroaction positive? Comment peut-on utiliser la rétroaction pour avoir un effet réel sur les comportements, susciter la performance et l’engagement des employés? Les neurosciences, qui nous permettent de mieux comprendre le fonctionnement du cerveau, remettent en question certains principes et nous offrent des pistes intéressantes pour comprendre le rôle de la rétroaction dans la performance et mettre en place des façons de faire qui auront des retombées concrètes et positives.
Objectifs d'apprentissage
- Connaître le fonctionnement du cerveau en lien avec la rétroaction.
- Connaître les éléments clés pour une rétroaction « alliée du cerveau ».
- Identifier certaines stratégies et outils pour améliorer l’impact de la rétroaction.
Contenu
- Ce que la science nous apprend sur la rétroaction.
- Rétroaction constructive et rétroaction positive : des effets bien différents.
- L’importance de l’état d’esprit basé sur le développement.
- Le principe du progrès.
- Redonner du pouvoir à l’employé, diminuer la pression sur le gestionnaire.
- Les outils virtuels de rétroaction : alliés ou ennemis du cerveau?
Participants visés
Professionnels en ressources humaines et en relations industrielles.
