Vous lisez : L'horaire d'été allégé dans les milieux de travail : toujours un privilège. Résultats d'un sondage CROP-ORHRI.

Un sondage effectué par CROP pour l'Ordre des conseillers en ressources humaines et en relations industrielles agréés du Québec (ORHRI) révèle que 75 % des travailleurs interrogés ne bénéficient pas d'un horaire d'été différent de celui du reste de l'année. Pour leur part, quelque 21 % des travailleurs interrogés affirment jouir d'un tel horaire dans leur emploi.

Les horaires d'été dans les organisations débutent généralement vers la fête de la Saint-Jean et se terminent à la fête du Travail. Ils sont déclinés en variations sur le thème du congé le vendredi après-midi. Certaines entreprises le mettent en place au début de juin, d'autres à la Saint-Jean. Dans certains cas, il s'agit d'une pratique qui change d'une année à l'autre alors que dans d'autres, l'horaire d'été est une politique fixe de l'entreprise ou est intégré dans la convention collective.

Qu'on le considère comme un privilège ou comme un acquis, l'horaire d'été permet à des milliers de travailleurs de profiter un peu plus de l'été. Ses effets bénéfiques sur le taux d'absentéisme et sur la productivité ne sont toutefois pas démontrés. On peut cependant supposer qu'il représente un moyen de plus de concilier les responsabilités liées au travail et à la famille en période estivale.

Pour en apprendre davantage sur le sujet, consultez gratuitement le dossier spécial Horaire d'été de l'ORHRI. Ce dossier spécial inclut les résultats du sondage CROP ainsi qu'un article intitulé « Vive le vendredi libre! » qui fait état de l'expérience vécue dans plusieurs entreprises telles que la Société des alcools du Québec, Statistique Canada, Québécor, etc.

Vous pouvez télécharger le document contenant les résultats du sondage en cliquant ici.

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